
C’est avec une grande joie que je vous annonce aujourd’hui que ma plante grasse Notocactus magnificus que j’ai retrouvé en grande partie pourri il y a environ un an est maintenant sauvée.
C’est avec une grande joie que je vous annonce aujourd’hui que ma plante grasse Notocactus magnificus que j’ai retrouvé en grande partie pourri il y a environ un an est maintenant sauvée.
Je voudrais vous parler aujourd’hui d’une méthode de multiplication assez courante chez les plantes grasses et grâce à laquelle vous n’avez rien à faire ou presque. Bien sûr, le rien à faire n’existe pas, mais dans ce cas, la plante s’occupe de tout ou presque.
De quoi s’agit-il ? Il s’agit du rejet. Pourquoi je dis que la plante s’occupe de tout ou presque, car en fait, tout dépend des espèces, voire des variétés à l’intérieur d’une espèce. Certaines font tout le travail, il ne vous reste plus qu’à récupérer les rejets pour les replanter dans des pots individuels, d’autres vous demanderont une participation.
Voyons les différents cas.
L’automne a été plein de mauvaises surprises. L’une d’elle s’est produite sous le châssis dans lequel les Echinocereus passent l’hiver. En regardant mes plantes de près suite à des soucis de cochenilles, j’ai découvert qu’un des Echinocereus était atteint de cochenilles, mais également de champignons. Si la situation semblait compliquée, les infections paraissaient gérables. A partir de ce constat, de quelle manière ai-je procédé?
Voici une plante que vous connaissez probablement et que vous possédez peut-être. En effet, elle est très répandue. On la voit partout, dans les grandes surfaces, dans les jardineries, chez les fleuristes, etc. Les couleurs des fleurs sont très variées. On trouve des rouges, des roses, des blanches, des saumons, des jaunes. Les fleurs sont simples ou doubles.
Si la plante Kalanchoé blossfeldiana est très facile à trouver et à acquérir du fait de son prix souvent abordable, comment l’entretenir une fois chez vous ?
Je répondrais à cette question avec une grande simplicité, il s’entretient comme la majorité des plantes grasses. Il est originaire de Madagascar. Le fait qu’il s’agisse d’une plante grasse et son origine géographique devraient déjà vous donner des informations concernant ses besoins.
La plante grasse Sansevieria est souvent présente dans les halls d’entrée des lieux publics ou des entreprises. Dans ce cas, il s’agit souvent du Sansevieria à feuilles souples montantes, variété trifasciata qui a l’avantage de ne pas piquer. Mais il en existe de nombreuses autres espèces, certains ont aussi des feuilles souples, mais la plante est relativement plate, d’autres ont des feuilles rigides et bien piquantes.
Ce mois-ci vos plantes grasses sont encore en extérieur et grâce à la chaleur, vous les voyez se développer, elles grandissent ou grossissent à vue d’œil depuis le début juillet.
Quels travaux devez-vous réaliser ? Que vous réservent votre plante grasse en août comme surprise ?
Il y a quelques jours, une amie m’a demandé comment entretenir une plante grasse: un Aeonium qu’on lui a offert ce qui m’a donné l’idée de cet article.
Tout d’abord, Aeonium est endémique des îles Canaries. Lors d’un voyage à la Goméra (les voyages sur place permettent de voir l’environnement dans lequel les plantes se développent), j’ai constaté qu’Aeonium pousse en forêt si bien que quand le temps est gris et pluvieux, les plantes sont dans l’obscurité. Par ailleurs, l’humidité est beaucoup plus importante. Ainsi, vous l’aurez compris, Aeonium a besoin d’ombre et d’un taux d’humidité supérieur à d’autres plantes grasses.
Nous voici en juillet, donc normalement en plein été avec le temps et les températures qui accompagnent cette saison. Oui, je sais, c’est variable d’une année à l’autre et d’une région à l’autre. Il n’est pas rare que mes plantes passent la majeure partie de l’été à l’intérieur, car il fait trop humide ou trop froid. Il y a aussi des années où c’est « coucou me voilà dehors », puis deux semaines après c’est « au revoir, je rentre, le temps n’est pas de la partie ». Nous parlerons donc ici des années « normales » avec 25 à 30°C, de la pluie au maximum une journée par semaine et le soleil le reste du temps.
Je voudrais aujourd’hui vous présenter une de mes plantes préférées que vous connaissez déjà dans la mesure où sa photo figure sur la bannière de notre page Facebook. Il s’agit de la plante grasse Aylostera pumila qui fait partie de la famille des Rebutias.
C’est une plante d’assez petite taille, je la cultive dans un pot de diamètre 8 cm.
Nous avançons progressivement vers l’été et les plantes grasses en juin ont besoin de plus en plus de soins. Quelles sont donc les actions à mener ce mois-ci ?