Ma plante grasse Notocactus magnificus est sauvée

C’est avec une grande joie que je vous annonce aujourd’hui que ma plante grasse Notocactus magnificus que j’ai retrouvé en grande partie pourri il y a environ un an est maintenant sauvée.

Le déroulement :

Il y a environ un an, je m’aperçois que mon Notocactus magnificus est en partie pourri. Je tente alors le tout pour le tout. Je prends un cutter que je désinfecte à l’aide du feu. J’attends quelques instants que la lame refroidisse. Pendant ce temps, je dépote la plante, puis je coupe toute la partie pourrie. C’est toujours terrible de réaliser une telle action même si on sait que c’est un moyen de sauver la plante.

 

Le retour vers la vie:

Après plusieurs jours de séchage, je l’ai installé dans un pot rempli de sable pur. Son état était alors correct. Elle a passé environ un an ainsi au chaud été comme hiver. Par conséquent, je l’ai arrosé deux à trois fois dans l’hiver. En effet, le sable sèche plus vite que terreau et la plante grasse étant restée au chaud, il a donc été possible de l’arroser de temps en temps.

Voyant la plante en bon état, j’ai décidé de la dépoter afin de voir si elle avait refait des racines. Hourra, une partie de la base possède de belles racines de plusieurs centimètres. Quelle joie ! Je l’ai donc installée dans un nouveau pot dans le mélange habituel pour cactées. Elle a désormais tout l’été pour reprendre sa croissance. Je croise les doigts pour qu’il ne lui arrive pas d’autre incident.

 

Si vous connaissez une situation similaire :

Si vous aussi vous constatez que l’un de vos cactus est en train de pourrir, faites comme moi, coupez la partie endommagée, même si c’est un crève-cœur, c’est la seule chance que vous avez de sauver votre plante grasse. Je ne vous cache pas que cette technique ne fonctionne pas à tous les coups, mais quel bonheur quand elle marche. Il y a deux conditions à la réussite, d’une part que la plante ne soit pas totalement pourrie ; d’autre part, il faut bien laisser sécher la partie coupée.

Un Echinofossulocactus qui a subi le même sort et que j’ai dépoté le même jour n’a pas encore de racines. Je ne peux donc pas dire qu’il est sauvé, cependant, il est beau. Je l’ai donc remis dans le sable et j’attends. J’aurai, je l’espère, une bonne surprise dans un an.

Si je parviens à sauver d’autres plantes avec cette méthode ou avec d’autres, je serai trop heureuse de vous partager cette bonne nouvelle. En attendant, rejoignez-nous sur notre page Facebook.

 

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